Paros-Cyclades : voyage entre nature et patrimoine

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Paros est l’une des 24 îles des Cyclades. Elle se situe au milieu du collier agean. À 150 km au sud d’Athènes, à côté de Naxos, Paros est très touristique. Elle a toutefois su se préserver du béton. Jusqu’à présent du moins.

Paros Nature

On vient à Paros pour la nature. Pour marcher et visiter les villages. Trente cinq km de sentiers traversent les collines, les champs d’arbres fruitiers, d’oliviers, de vignes et de fleurs des champs. Les paysages changent en fonction des saisons. L’ocre et le vert dominent la palette de couleurs. On rencontre également des grottes et d’anciennes carrière de marbre.

Paros compte 168 km de côtes. Alors, on revient toujours à la mer.

Paros et la Grande Bleue

La plage de Kalogeros est la plus reculée donc la plus calme.

On arrache de petits blocs d’argile aux falaises pour se faire un gommage improvisé.

On se badigeonne, on laisse sécher et on rince dans la mer.

La peau est toute douce et pas de crainte … le produit est 100 % naturel. Après on bulle dans la crique ou bien on nage. Ou bien les deux.

Changement de décor à Kolympêthres. Le site est connu pour ses rochers. L’érosion y a dessiné des sculptures. On y verrait presque la main de l’homme. Mais non, les motifs étranges c’est juste l’écriture de la merles marées sculptent aussi de manière ésotérique.

La plage attire beaucoup de monde. À éviter donc en période estivale.

Paros : voyage dans l’histoire

Pendant les heures chaudes on a le choix : la sieste ou les visites.

On peut profiter de la fraîcheur à l’intérieur de la Basilique Ekatontapiliani.

Elle est surnommée la Sainte Sophie de le mer égée ou bien l’église aux 100 Portes. Le vaste bâtiment est composé de pierres et de de tuiles apparentes. Les premières fondations remontent au 4ème siècle.

Pas de chauffage à l’intérieur mais un jardin où flâner en paix. Sauf pendant l’été bien entendu.

Autre voyage à travers l’histoire ; le musée d’archéologie

Dans la cour de pins, on découvre des stèles, des sarcophages, des statues et des fresques en marbre. Un marbre blanc si fin qu’il a fait la réputation de l’Ile. Les statues et des sarcophages datent de l’époque Classique et de l’époque Romaine. Ce sont des originaux. Chose rare.

À Parikia, la “capitale”, on déambule dans des ruelles dallées. Le observe la ballet de bateaux.

Le blanc et le bleu des Cyclades donnent le ton. Les maisons combinent le marbre, le fer, la chaux.

Les vestiges de la forteresse vénitienne veillent sur la ville.